Ce mercredi, les collectifs de victimes de violences des établissements scolaires catholiques étaient invités à partager leurs préconisations à la commission d’enquête parlementaire sur le sujet, portée par les deux corapporteurs Violette Spillebout (Renaissance) et Paul Vannier (LFI).
A cette occasion, la majorité des collectifs ont évoqué des désaccords avec Alain Esquerre, pourtant à l’origine des révélations du scandale de Bétharram. Entre autres différents : la création d’un «Office national de prévention et de contrôle des établissements scolaires», que le lanceur d’alerte a été accusé de vouloir diriger, dans un article du 6 mai du Canard enchaîné. Un projet démenti par Alain Esquerre le lendemain dans Sud Ouest, où il a assuré qu’il «ne vise aucun poste», et que s’il a démissionné de son emploi actuel, c’est «parce qu’il passe trop de temps sur le dossier Bétharram»