Quelques jours après la séquence polémique au cours de laquelle l’agent conversationnel Grok, dans sa version 3.0 disponible sur X (ex-Twitter), avait déversé sur le réseau social un tombereau de saillies ultra-droitières (allant jusqu’à se comparer lui-même à un «Mecha-Hitler»), la flambant neuve version 4.0 était présentée au public le 10 juillet. Un événement, programmé de longue date, à la suite duquel de nombreux technophiles se sont amusés à tester les performances du chatbot de l’entreprise xAI d’Elon Musk.
Pour déterminer son opinion «personnelle», l’IA de xAI se tourne vers Musk
Rapidement, plusieurs utilisateurs ont partagé des captures d’écran dans lesquelles Grok, interrogé sur des questions de géopolitique (positionnement dans le conflit israélo-palestinien ou russo-ukrainien), s’avère utiliser comme source primaire de réflexion… l