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C’est bientôt officiel. Après l’échec annoncé de la motion de censure déposée par le Parti socialiste à l’Assemblée, ce mardi 1er juillet, François Bayrou s’apprête à dépendre de la clémence du Rassemblement national, comme Michel Barnier avant lui. Car les troupes de Marine Le Pen refusent d’apporter leurs voix à celles de l’ensemble des partis de gauche pour le renverser, et renvoient les hostilités aux négociations sur le budget à la rentrée. Spoiler : ce genre de relation asymétrique où la confiance ne règne pa